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LE VIDOURLE A SOMMIERES
En amont de St Hyppolite du Fort, le Vidourle abrite une intéressante
petite population de truites fario.
Sa configuration variée est caractéristique des
ruisseaux cévenols.
Il n’est pas rare d’avoir le plaisir de ferrer quelques
jolis poissons. Les principaux affluents du Vidourle (le Crespenou, le Crieulon,
la Courme et la Bénovie) sont de bons secteurs pour la
pêche itinérante à rôder, au «
tout venant".
EN AVAL DE SOMMIERES
A dix kilomètres de Sommières, dominant une plaine fertile arrosée par le Vidourle, le territoire de Gallargues, lieu de passage proche du littoral méditerranéen, est occupé depuis les temps préhistoriques.
Dès l’antiquité, le tracé de la voie Domitienne, reliant Rome à l’Espagne, traversait la commune et franchissait le Vidourle sur un pont majestueux datant du premier siècle après Jésus Christ.
Plus bas, vers la Roque d'Aubais, les carpistes se retrouvent pour des pêches fructueuses. |
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A l'entrée de Sommières, le parcours de pêche de la carpe de nuit
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Le
moyen Vidourle.
De Sauve à Sommières
Techniques de pêches
préconisées :
Carnassiers au vif, au poisson mort manié, et aux leurres.
Carpe à la graine et à la bouillette.
Pêche des poissons blancs au coup.
Poissons dominants :
Carpe, brochet, sandre, perche, ablette, chevesne, barbeau,
gardon, brême.
Le
bas Vidourle.De Sommières au Grau du Roi.
Techniques
de pêches préconisées :
Sandre et brochet au vif, black-bass et perche aux leurres
artificiels.
Carpe à la bouillette.
Poissons dominants :
Poissons blancs au coup, black-bass, sandre, silure |
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Le
Crieulon
De l’aval du barrage de la Rouvière au Vidourle.
Techniques
de pêches préconisées :
Perche et chevesnes à rôder au lancer léger.
Poissons blancs au coup et à l’anglaise.
Poissons dominants :
Perche, brochet, chevesne, goujons et poissons blancs
Le Vidourle à St Laurent d'Aigouze
Techniques de pêches
préconisées :
Sandre au vif ou au poisson mort manié, black-bass et
brochet au lancer, carpe à la bouillette.
Poissons blancs au coup et à l’anglaise.
Poissons dominants : Carpe, brochet, sandre, perche, ablette, chevesne, gardon, brême. |
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La Camargue gardoise correspond à la partie nord et ouest de l'immense delta du Rhône. Elle est séparée du Parc naturel régional de Camargue par le Petit Rhône, qui correspond, sur la majeure partie de son parcours, à la limite entre Bouches-du-Rhône (région Provence-Alpes-Côte d'Azur) et Gard (région Languedoc-Roussillon) : limite purement administrative, puisque l'on découvre sensiblement les mêmes paysages de part et d'autre du Petit Rhône.
Au nord, ses immensités plates viennent buter sur le rebord de la Costière qui s'allonge sur près de 40 kilomètres depuis Beaucaire jusqu'au sud de Vauvert en passant par Bellegarde et Saint-Gilles. Au sud elle s'ouvre sur la Méditerranée, dans des dispositions contrastées entre son littoral naturel, formé par les dunes de l'Espiguette, et son littoral urbanisé par le Grau-du-Roi et ses extensions (Port-Camargue), qui marquent les confins est du littoral urbanisé de Languedoc-Roussillon.
La Camargue présente ainsi aujourd'hui des visages différents selon qu'elle est urbaine (littoral du Grau-du-Roi), entièrement cultivée, l'eau n'existant plus que sous forme d'étroits canaux de drainage, les roubines (de Saint-Gilles à Beaucaire) ou composite entre étangs, marais et cultures (autour d'Aigues-Mortes). Se distinguent ainsi aujourd'hui trois unités de paysages : |
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LE CANAL DES CAPETTES
Ce canal permet de rejoindre le Petit Rhône du canal de Beaucaire à Sète et parcourant une vaste
zone humide typique dans un cadre sauvage.
Le canal des Capettes
ne devient véritablement accessible, par la route qui le
longe, qu'à partir de Gallician jusqu'au Mas des Iscles. D'une profondeur de 1 à 2 mètres et avec sa configuration
sauvage, le milieu convient bien aux poissons blancs, sandres,
black bass et brochets.
Les
magnifiques levers et couchers de soleil, surtout depuis le pont
de Gallician où l'on domine le panorama sauvage de la Petite
Camargue gardoise, augurent d'une bonne partie de pêche
ou de la terminer en beauté.
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LE BOISSESSON.
Le pêcheur de truites, découvrira au détour
d’un des nombreux virages de la corniche des Cévennes,
un petit ruisseau tranquille
« le Boissesson » qui
saute et bondit de rochers en rochers.
Pour réellement profiter de cette « eau-baine » soyez discret, c'est là le seul secret !
Vous êtes en première catégorie, au royaume
des pêcheurs au toc.
La nature, la vraie, celle que l’on dit être à
l’état sauvage, est là, à vos pieds,
si belle et si réelle.
Le ruisseau n’est pas très large, de 3 à 5
mètres et l’eau peu profonde.
A l’ombre d’un arbre arrêtez-vous, ne faîtes
plus de bruit, savourez le silence et sachez ...
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LE LAC DES CAMBOUX
Sur la route de vos vacances, je vous conseille
de vous arrêter au lac des Camboux.
Que vous soyez piètre
amateur ou technicien confirmé, il y a toujours des poissons
qui vous attendent. Gardons de bordure ou belle mémère des profondeurs, brochet flânant ou tanche indolente, vous
serez, quelque soit le résultat, satisfait de ces quelques
moments de furtive quiétude.
Une vaste étendue d'eau, un barrage plus exactement, très riche en poissons blancs, en carpes, un peu moins en carnassiers, mais peut-être
aurez-vous la surprise de toucher « une
arc en ciel » au moment ou vous ...
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